Actualités – ASSÉ http://www.asse-solidarite.qc.ca Association pour une solidarité syndicale étudiante Tue, 30 Apr 2019 03:59:53 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=4.9.8 CONGRÈS ANNUEL 2018-2019 : Les membres de l’ASSÉ votent en faveur de la dissolution http://www.asse-solidarite.qc.ca/actualite/congres-annuel-2018-2019-les-membres-de-lasse-votent-en-faveur-de-la-dissolution/ http://www.asse-solidarite.qc.ca/actualite/congres-annuel-2018-2019-les-membres-de-lasse-votent-en-faveur-de-la-dissolution/#respond Tue, 30 Apr 2019 03:45:17 +0000 http://www.asse-solidarite.qc.ca/?post_type=actualite&p=3788 Réunies à Québec les 27 et 28 avril, les associations membres de l’Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ) ont adopté un mandat en faveur de sa dissolution qui sera effective à partir du 31 mai prochain. Lire la suite

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MONTRÉAL, le 29 avril 2019 - Réunies à Québec les 27 et 28 avril, les associations membres de l’Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ) ont adopté un mandat en faveur de sa dissolution qui sera effective à partir du 31 mai prochain.

Des discussions portant notamment sur la démocratie étudiante, les structures, les luttes écologistes et l’antiracisme ont fait partie d’une journée de réflexion qui a précédé cette prise de décision. Au terme des débats, les délégations présentes, composées autant d’associations locales membres, que d’associations non membres et de personnes observatrices, se sont ralliées autour de la possibilité de créer une nouvelle structure nationale, mais en ne précisant pas encore la forme que celle-ci pourrait prendre.

« Un comité de transition élu s’occupera de l’organisation de formations, du maintien d’un contact entre les associations étudiantes et de la mise en place d’espaces de réflexion sur l’avenir du syndicalisme combatif étudiant. Pour accomplir cette mission, il est également mandaté de faire des liens avec différents groupes qui prennent part aux luttes sociales actuelles », explique Mireille Allard, secrétaire aux finances et co-porte-parole de l’ASSÉ.

La grève survenue au printemps 2015 aurait entre autres contribué à une scission entre différentes visions du mouvement étudiant combatif, selon ce qui a été soulevé par les délégations. À la suite de celle-ci, plusieurs critiques avaient été formulées comme un manque de transparence et de confiance envers les personnes élues, résultant en un désinvestissement progressif de la structure.

« Plusieurs critiques n’ont pas réussi à être intégrées avec les années, » spécifie Hassan Saab, secrétaire aux affaires internes et co-porte-parole de l’ASSÉ. « Les luttes féministes et antiracistes étaient perçues comme secondarisées par rapport aux campagnes annuelles, et les associations locales considéraient qu’il y avait un manque de représentativité au sein du mouvement étudiant. C’est sur ces critiques que le congrès s’est terminé, avec un appel à intégrer des mesures concrètes pour contrer celles-ci dans une prochaine organisation étudiante nationale. »

Malgré les débats, les délégations ont clos le congrès en réaffirmant leur volonté à perpétuer les valeurs constituantes de l’ASSÉ, soit la solidarité, la démocratie et la combativité, sous une forme qui reste à construire. D’ici là, les étudiantes et les étudiants continueront de faire vivre le syndicalisme de combat à travers les luttes présentes et à venir.

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Seule association étudiante nationale comprenant des membres de tous les cycles d’enseignement supérieur confondus, l’Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ) regroupe près de 50 000 membres dans les cégeps et les universités du Québec. Fondée en 2001, l’ASSÉ revendique notamment une gratuité scolaire à tous les niveaux, une démocratisation des milieux d’enseignement et une éducation publique et universelle.

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MONTREAL, April 29, 2019-Meeting in Québec City on April 27 and 28, the member associations of the Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ) adopted a mandate for its dissolution, which will be effective as of May 31.

Discussions on student democracy, structures, ecological struggles and anti-racism were part of a day of reflection that preceded this decision-making. At the end of the discussions, the delegations present, composed of local member associations as well as of non-member associations and observers, rallied around the possibility of creating a new national structure, although not yet specifying the form that it could take.

“An elected transition committee will be responsible for organizing training, maintaining communication between student associations and setting up spaces for reflection on the future of student combative unionism. To accomplish this mission, it is also mandated with the establishment of links with different groups involved in current social struggles,” explains Mireille Allard, secretary of finance and co-spokesperson of the ASSÉ.

The strike in the spring of 2015 would have contributed, among other things, to a split between different visions of the combative student movement, according to the points raised by the delegations. As a result, several criticisms were made about a lack of transparency and trust in the elected representatives, resulting in a gradual disinvestment in the structure.

“Many of the criticized issues could not be solved in time,” says Hassan Saab, secretary of internal affairs and co-spokesperson of the ASSÉ. “Feminist and anti-racist struggles were seen as secondary to annual campaigns, and local associations considered that there was a lack of representativeness within the student movement. It was on these criticisms that the conference ended, with a call to integrate concrete measures to counter them into a future national student organization.”

Despite the debates, the delegations closed the congress by reaffirming their willingness to perpetuate the constituent values of the ASSÉ, namely solidarity, democracy and combativeness, in a form that remains to be agreed upon. In the meantime, students will continue to support combat unionism through current and future struggles.

The only national student association with members from all levels of higher education combined, the Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ) has nearly 50,000 members in Québec’s CEGEPs and universities. Founded in 2001, ASSÉ demands free education at all levels, democratization of the educational environment and public and universal education.

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Campagne 2018-2019 : l’ASSÉ amorce une campagne contre la marchandisation de l’éducation http://www.asse-solidarite.qc.ca/actualite/campagne-2018-2019-lasse-amorce-une-campagne-contre-la-marchandisation-de-leducation/ http://www.asse-solidarite.qc.ca/actualite/campagne-2018-2019-lasse-amorce-une-campagne-contre-la-marchandisation-de-leducation/#respond Wed, 19 Sep 2018 20:41:59 +0000 http://www.asse-solidarite.qc.ca/?post_type=actualite&p=3727 CAMPAGNE 2018-2019 : L’ASSÉ AMORCE UNE CAMPAGNE CONTRE LA MARCHANDISATION DE L’ÉDUCATION MONTRÉAL, 16 septembre 2018 — Lors du congrès tenu en avril dernier, les associations membres ont décidé d’unir leurs efforts dans la prochaine année afin de lutter contre la marchandisation … Lire la suite

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CAMPAGNE 2018-2019 : L’ASSÉ AMORCE UNE CAMPAGNE CONTRE LA MARCHANDISATION DE L’ÉDUCATION

MONTRÉAL, 16 septembre 2018 — Lors du congrès tenu en avril dernier, les associations membres ont décidé d’unir leurs efforts dans la prochaine année afin de lutter contre la marchandisation de l’éducation.

Inquiètes des récents investissements du gouvernement, qui correspondent avec sa volonté affichée de rapprocher le secteur des entreprises privées des établissements d’enseignement et d’adapter la formation aux besoins du marché mondial, les associations étudiantes ont décidé de renouer avec un des principes fondateurs de l’ASSÉ, soit sa défense d’un réseau d’éducation publique et libre de l’ingérence du privé, dans le choix de cette campagne. Celle-ci a également pour but de se préparer aux nouvelles attaques que risque de subir notre système d’éducation si un gouvernement néolibéral était élu en octobre prochain.

Cette campagne comporte plusieurs revendications, à commencer par une opposition claire à la modulation des frais de scolarité des étudiantes et étudiants de l’international, ainsi qu’à toute hausse des frais de scolarité. L’ASSÉ rappelle également son opposition à toute forme d’attaque envers les cégeps et leur formation générale, et s’avère méfiante face à la nouvelle formule Trial proposée par le gouvernement concernant les CCTT, qui semble une fois de plus être une formule d’ingérence du privé dans le réseau collégial. Également, cette campagne est l’occasion de réitérer la revendication de l’ASSÉ pour la rémunération de tous les stages et de montrer son appui à la campagne des Comités unitaires sur le travail étudiant (CUTE).

Au cours de l’été, la nouvelle équipe nationale de l’ASSÉ a créé beaucoup de matériel d’information et de mobilisation sur le sujet, et elle se prépare à le distribuer et à former les militantes et militants de ses associations étudiantes membres pour propager cette campagne dans tout le Québec. En parallèle, la mobilisation autour des violences sexuelles se poursuit, afin d’aider les associations étudiantes dans l’élaboration d’une politique locale contre les violences sexuelles, celle-ci devant être adoptée d’ici le 1er janvier 2019.

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Congrès annuel 2016-2017 : L’ASSÉ démarre une campagne contre la culture du viol http://www.asse-solidarite.qc.ca/actualite/congres-annuel-2016-2017-lasse-demarre-une-campagne-contre-la-culture-du-viol/ http://www.asse-solidarite.qc.ca/actualite/congres-annuel-2016-2017-lasse-demarre-une-campagne-contre-la-culture-du-viol/#respond Thu, 04 May 2017 17:03:28 +0000 http://www.asse-solidarite.qc.ca/?post_type=actualite&p=3638 CONGRÈS ANNUEL 2016-2017 : L’ASSÉ DÉMARRE UNE CAMPAGNE CONTRE LA CULTURE DU VIOL QUÉBEC, 30 avril – Réunies à Québec les 29 et 30 avril, les associations membres de l’Association pour une solidarité syndicale étudiante ont adopté un plan d’action … Lire la suite

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CONGRÈS ANNUEL 2016-2017 : L’ASSÉ DÉMARRE UNE CAMPAGNE CONTRE LA CULTURE DU VIOL

QUÉBEC, 30 avril – Réunies à Québec les 29 et 30 avril, les associations membres de l’Association pour une solidarité syndicale étudiante ont adopté un plan d’action pour l’année à venir et ont dressé un état de la mobilisation.

Le Congrès a été le moment de dresser le bilan de la dernière année. Des débats ont eu lieu entre les associations étudiantes sur la place des femmes militantes en leur sein, du travail invisible qu’elles effectuent dans leur militantisme et concernant le sujet de la prochaine campagne menée par l’ASSÉ – en ce sens, une campagne contre les agressions sexuelles et la culture du viol dans les établissement scolaires au Québec pour l’année 2017-2018 a été adoptée.

Celle-ci inclut une exigence pour un réinvestissement massif dans le financement des universités et des cégeps, considérant que les services aux personnes survivantes ont été particulièrement touchés par les coupures des dernières années. Elle y inclut également un appel à une restructuration des politiques contre le harcèlement sexuel, des processus de dénonciation ainsi que des structures de soutien aux personnes survivantes dans les établissements scolaires. Des dispositions pour porter une attention particulière aux enjeux touchant les femmes autochtones, racisées, en situation de handicap ou transgenres ont également été apportées. « Une embauche d’intervenantes spécialisées en violences sexuelles pour un support des survivantes sur les campus se doit d’être une priorité! La culture du viol sur les campus du Québec est une grave problématique à laquelle les étudiantes sont confrontées dès le début de leur scolarité », s’indigne Rosalie Rose, porte-parole de l’ASSÉ.

Les associations étudiantes membres ont aussi voté d’élire une toute nouvelle équipe qui rentrera en poste le 1er juin pour mener cette campagne à bien, et poursuivre la lutte contre la culture du viol. De plus, un nouveau Comité Antiraciste permanent veillera à la défense des droits dans le cadre de réalités qui touchent particulièrement les personnes racisées, à commencer par la campagne sur les agressions sexuelles sur les campus au Québec.

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L’ASSÉ appuie la campagne « Ensemble pour une politique familiale aux études ! » http://www.asse-solidarite.qc.ca/actualite/lasse-appuie-la-campagne-ensemble-pour-une-politique-familiale-aux-etudes/ http://www.asse-solidarite.qc.ca/actualite/lasse-appuie-la-campagne-ensemble-pour-une-politique-familiale-aux-etudes/#respond Fri, 31 Mar 2017 18:58:33 +0000 http://www.asse-solidarite.qc.ca/?post_type=actualite&p=3628 L’ASSÉ APPUIE LA CAMPAGNE « ENSEMBLE POUR UNE POLITIQUE FAMILIALE AUX ÉTUDES! » L’Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ) est une association étudiante nationale fondée en 2001, qui représente plus de 70 000 membres partout à travers la province. Dans ses principes … Lire la suite

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L’ASSÉ APPUIE LA CAMPAGNE « ENSEMBLE POUR UNE POLITIQUE FAMILIALE AUX ÉTUDES! »

L’Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ) est une association étudiante nationale fondée en 2001, qui représente plus de 70 000 membres partout à travers la province. Dans ses principes fondamentaux, l’ASSÉ lutte pour une éducation gratuite, libre et accessible pour tous les étudiants et toutes les étudiantes.

Dans une perspective d’élargir l’accès au droit à l’éducation pour tous et toutes, il fait plaisir à l’ASSÉ d’appuyer la campagne de l’Association des parents-étudiants de l’Université Laval (APÉtUL), conjointement avec la CADEUL et l’AELIÉS, intitulée « Ensemble pour une politique familiale aux études! ». Afin d’améliorer les conditions d’étude des parents-étudiants, qui composent une catégorie d’étudiants et d’étudiantes particulièrement précaires, la création d’une politique familiale afin d’encadrer les obligations de l’Université Laval face aux étudiants et aux étudiantes dans cette situation est fondamentale. En ce sens, l’ASSÉ croit sans réserve en la nécessité de cette campagne.

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Les syndicats de l’Université de Montréal dénoncent le coup d’État de l’administration http://www.asse-solidarite.qc.ca/actualite/3594/ http://www.asse-solidarite.qc.ca/actualite/3594/#respond Mon, 23 Jan 2017 20:53:02 +0000 http://www.asse-solidarite.qc.ca/?post_type=actualite&p=3594 LES SYNDICATS DE L’UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL DÉNONCENT LE COUP D’ÉTAT DE L’ADMINISTRATION MONTRÉAL, le 23 janv. 2017 /CNW Telbec/ - Aujourd’hui, l’administration de l’Université de Montréal (UdeM) soumettra à l’Assemblée universitaire un projet de refonte de la Charte de l’UdeM. … Lire la suite

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LES SYNDICATS DE L’UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL DÉNONCENT LE COUP D’ÉTAT DE L’ADMINISTRATION

MONTRÉAL, le 23 janv. 2017 /CNW Telbec/ - Aujourd’hui, l’administration de l’Université de Montréal (UdeM) soumettra à l’Assemblée universitaire un projet de refonte de la Charte de l’UdeM. Syndicats et associations étudiantes dénoncent unanimement cette initiative unilatérale de refonte qui vise à centraliser les pouvoirs aux mains de l’administration au détriment de la communauté universitaire et qui contribue à la privatisation massive de l’UdeM.

Le processus de réforme mené par l’administration se déroule en faisant fi de la Charte actuellement en vigueur et des institutions démocratiques de l’UdeM. En outre, dans les deux dernières semaines, la direction a mené des consultations en catimini. L’administration a sciemment contourné les règles de collégialité, plaçant l’Assemblée universitaire et la communauté de l’UdeM devant le fait accompli. La communauté de l’UdeM est estomaquée et indignée devant ce coup de force sans précédent.

De plus, l’administration a imposé un calendrier précipité qui empêche les membres de la communauté de prendre le temps d’étudier les réformes dans leur ensemble et de participer pleinement à l’exercice. Rappelons que le dernier changement de la Charte de l’UdeM, qui a eu lieu en 1967, était le résultat d’un processus de deux ans auquel toute la communauté universitaire avait participé. Le recteur Guy Breton invoque une soi-disant urgence liée au calendrier législatif du gouvernement du Québec, mais personne n’est dupe.

Si elle est adoptée, la réforme de la Charte de l’UdeM permettra à des individus extérieurs et à des entreprises privées de décider des orientations générales de l’université, au détriment de l’enseignement et de la recherche libre. De plus, la réforme aura comme conséquence d’affaiblir l’indépendance des départements et de précariser les conditions de travail du personnel de l’UdeM. La liberté académique et la mission fondamentale sont en jeu.

Nous dénonçons que l’administration de l’UdeM recoure à l’urgence comme mode de gouvernance en ignorant la communauté universitaire pour privatiser l’université. Nous sommes prêts à participer à une refonte de la Charte, à la condition que les délibérations respectent les instances collégiales de l’UdeM et que le processus se déroule dans un échéancier raisonnable. D’ici là, les syndicats et associations étudiantes de l’UdeM mobiliseront leurs membres sur ce dossier.

Renseignements : Lisa Djevahirdjian, attachée de presse du SÉUM-1244, 514 831-3815

Signataires et appuis :

  • Syndicat général des professeures et des professeurs de l’Université de Montréal (SGPUM)
  • Syndicat des étudiant-e-s salarié-e-s de l’Université de Montréal (SÉSUM)
  • Syndicat des employé-e-s de la recherche de l’Université de Montréal (SÉRUM)
  • Syndicat des employé-e-s de l’Université de Montréal (SEUM-1244)
  • Syndicat des employés d’entretien de l’Université de Montréal (SEEUM-1186)
  • Syndicat canadien de la fonction publique - Section locale 4338 représentant les techniciens en mécanique du bâtiment (SCFP-FTQ-4338)
  • Association départementale des étudiants et des étudiantes en philosophie de l’Université de Montréal (ADÉPUM)
  • Association étudiante en en anthropologie de l’Université de Montréal (AÉAUM)
  • Association étudiante des cycles supérieurs en anthropologie de l’Université de Montréal (AÉCSAUM)
  • Association  étudiante de science politique et de philosophie de l’Université de Montréal (AESPEP)
  • Association étudiante d’histoire de l’Université de Montréal (AÉHUM)
  • Syndicat des auxiliaires de recherche et d’enseignement de l’Université de Sherbrooke (SAREUS)
  • Syndicat des travailleuses et travailleurs étudiants et postdoctoraux de l’Université Laval (STEP)
  • Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ)
  • Fédération du personnel professionnel des universités et de la recherche (FPPU)
  • Fédération québécoise des professeures et professeurs d’université (FQPPU)
  • Conseil québécois des syndicats universitaires (CQSU)
  • Syndicat des étudiants et étudiantes salarié-e-s de l'Université du Québec à Rimouski (SEES-UQAR)

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Déclaration conjointe de l’ASSÉ et de l’AVEQ dénonçant le manque d’inclusion des survivant.es dans les consultations gouvernementales d’agression sexuelle http://www.asse-solidarite.qc.ca/actualite/3588/ http://www.asse-solidarite.qc.ca/actualite/3588/#respond Thu, 12 Jan 2017 18:56:01 +0000 http://www.asse-solidarite.qc.ca/?post_type=actualite&p=3588 Montreal, le 12 janvier 2017 Aujourd’hui, l’Association pour une Solidarité Syndicale Étudiante (ASSÉ) et l’Association pour la Voix de Étudiante au Québec (AVEQ) publient conjointement aux consultations pour la violence sexuelle annoncées par la ministre Hélène David. Tout en accueillant … Lire la suite

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Montreal, le 12 janvier 2017

Aujourd’hui, l’Association pour une Solidarité Syndicale Étudiante (ASSÉ) et l’Association pour la Voix de Étudiante au Québec (AVEQ) publient conjointement aux consultations pour la violence sexuelle annoncées par la ministre Hélène David. Tout en accueillant l’engagement du gouvernement concernant la violence sexuelle sur les campus, ces consultations soulèvent pourtant de sérieuses inquiétudes quant à la manière dans laquelle se déroule le processus de la consultation.

“Lorsqu’il s’agit de violence sexuelle, il est extrêmement important que nous travaillions ensemble pour soutenir et élever les voix des survivant.es en particulier. Dans le processus actuel de consultation publique proposé par le gouvernement, nous n’avons vu aucune indication de fournir les espaces adéquats ou les ressources nécessaires pour une participation directe de la part des survivant.es et des groupes qui travaillent avec les survivant.es.” explique Kristen Perry, porte-parole de l’AVEQ.

“Les violences sexuelles restent un frein important à une éducation accessible. Cela affecte toutes les étudiant.es, mais particulièrement les étudiant.es autochtones. Une mobilisation collective est donc nécessaire pour faire pression et exiger des mesures concrètes. Les voix des étudiant.es et des survivant.es doivent être entendues, et si elles ne le sont pas dans des consultations étatiques, elles le seront dans la rue!” s’exclame Rosalie Rose, porte-parole de l’ASSÉ.

Les deux associations etudiant.es planifient de continuer le travail ensemble pour mettre la pression sur la ministre, non seulement pour soutenir l’inclusion des survivants.es dans les consultations, mais aussi pour consacrer le financement et les ressources nécessaires aux groupes qui sont déjà en train de faire le travail nécessaire pour éviter la violence sexuelle et pour soutenir les survivant.es sur le campus et hors du campus.

Contexte

L’AVEQ a pour mission de défendre et de représenter les étudiantes et les étudiants autant francophones qu’anglophones tout en accordant une attention particulière à la réalité de la population étudiante régionale. L’AVEQ représente déjà 33 000 étudiantes et étudiants au Québec, et des associations représentant plus de 100 000 étudiantes et étudiants participent activement à sa construction.

ASSÉ est un syndicat étudiant national qui regroupe plus de 70 000 membres dans plusieurs associations tant collégiales qu’universitaires à travers le Québec, et incarne une vision combative du syndicalisme étudiant, et met l’information et la mobilisation de ses membres au cœur de son plan d’action. L’ASSÉ se veut un véritable syndicat voué à la défense des intérêts des étudiants et étudiantes du Québec, notamment, en combattant pour une plus grande accessibilité à l’éducation postsecondaire.

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Contact:

Isaac Stethem (pour l’AVEQ)
Conseiller à l’exécutif/Relations médias francophones
cons.exec@aveq-nous.ca
1-888-994-9177 poste 1

Élisabeth Béfort-Doucet (pour l’ASSÉ)
Secrétaire de presse
communication@asse-solidarite.qc.ca
514-835-4444

Prise de position commune de l’ASSÉ et l’AVEQ

Les survivantes:  les grandes exclues des consultations sur les violences sexuelles dans les campus post-secondaires

Il y a quelques semaines, la ministre David a annoncé des consultations publiques sur les violences sexuelles sur les campus des universités et des cégeps à travers la Province. Nous ne pouvons qu’être heureuses, en tant que femmes et militantes féministes, que cette question, trop souvent occultée, fasse enfin l’objet d’une attention gouvernementale. Néanmoins, bien que nous soyons heureuses que cette question soit enfin prise au sérieux, nous ne pouvons nous empêcher d’être en parfait désaccord avec la manière dont celles-ci vont s’organiser.

D’abord, nous avons des réticences à l’égard des invités à ces consultations; nous dénonçons que la ministre ait invité en grandes pompes les administrations universitaires et collégiales à cette consultation, qui a pour fin de créer une politique ou une loi-cadre sur les processus disciplinaires à tenir dans les cas de violence sexuelle. En effet, nous croyons que ce ne sont pas les administrations, qui, dans la plupart des cas, ont failli à leur devoir à l’égard des survivantes qui devraient être consultées, mais les survivantes elles-mêmes, qui ont vécu en première ligne des expériences traumatiques dans le cadre de processus disciplinaires contre les agressions sexuelles brisées. De ce fait, en matière de réponse au problème des violences sexuelles sur les campus, il est crucial d’entendre les voix des personnes les plus affectées par celles-ci, les victimes. Elles sont les meilleures placées pour décrire l’état de ces processus disciplinaires en ce moment et pour décrire ce qu’elles aimeraient voir établi comme procédure adéquate. Si le gouvernement souhaite mettre en place une politique efficace, leur consultation ainsi que les actions subséquentes doivent être abordées selon une approche centrée sur les besoins des survivantes, ce qui reconnaît les impacts disproportionnés et spécifiques de la violence sexuelle sur les individus de communautés marginalisées, incluant les personnes autochtones, les femmes racialisées et les personnes trans. Toute consultation qui concerne une agression sexuelle devrait inclure des mesures et stratégies concrètes pour les rendre accessibles pour les victimes ayant survécu à de tels actes, considérons les outils suivants:

  • Rendre explicite le fait que les survivantes soient les bienvenues et qu’elles recevront le soutien nécessaire pour contribuer à ces consultations;
  • Fournir différentes options pour la participation, comme les consultations publiques, de groupe, en écrivant ou en communiquant verbalement avec la personne;
  • Avoir des personnes qui écoutent activement dans les consultations en personne;
  • Encourager les survivantes à s’auto-identifier, et à communiquer autant ou autant peu qu’elles veulent;
  • Collaborer avec les centres de ressources locaux contre l’agression sexuelle afin de fournir plus de conseils et de support.

La question de l’aide aux survivantes est essentielle, donc nous déplorons l’omission d’invitation faite à l’égard des groupes de soutien, d’aide et d’accompagnement des survivantes telles que les Centres d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (CALACS), et les organisations qui représentent les femmes autochtones, racialisées ou trans qui semblent être les plus affectées par la violence sexuelle. Ces groupes sont composés des personnes les plus à même de parler des besoins des survivantes outre celles-ci, puisque dans ces centres, toute l’aide possible est déployée afin de venir en aide aux survivantes et de les accompagner le mieux possible. Évidemment, ces possibilités sont limitées, surtout considérant que le présent gouvernement, celui-là même qui a enclenché les consultations sur les violences sexuelles sur nos campus, garde les organisations qui aident celles et ceux qui font face à la violence sexuelle dans un état de sous-financement. Il ne va donc pas sans dire que l’austérité nous touche même là où nous nous trouvons les plus vulnérables: lorsque nous venons de vivre des expériences traumatiques.

Nous ne pouvons pas rester silencieuses face à cette situation qui relève de l’hypocrisie de la part du gouvernement. Celui-ci ne peut pas espérer être conséquent si d’une part, il démarre des consultations publiques sur les violences sexuelles, alors que de l’autre, il garde les organismes qui nous viennent en aide dans un état de sous-financement. C’est pourquoi, en tant que femmes et militantes féministes, nous revendiquons que le gouvernement refinance les organismes communautaires tels que les CALACS. Nous irions même jusqu’à revendiquer des CALACS sur chaque campus universitaire et collégial afin que les survivantes puissent être rapidement et efficacement prises en charge par des personnes compétentes, comprenant les enjeux et se situant hors de toute bureaucratie qui fait souvent l’effet d’être impersonnelle, surtout lorsqu’on vit un événement traumatique.

De plus, si nous en sommes à la situation actuelle, nous croyons que c’est sans doute parce que les questions de consentement et de conscientisation aux violences sexuelles n’ont pas été assez inculquées lors de notre passage dans le système éducationnel, notamment au niveau primaire et secondaire. Nous exigeons que ces questions deviennent obligatoires à aborder le plus tôt possible chez les élèves du primaire et du secondaire, ainsi, peut-être que cela permettra d’éviter certaines violences.

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L’ASSÉ réagit à un réinvestissement de façade en éducation http://www.asse-solidarite.qc.ca/actualite/lasse-reagit-a-un-reinvestissement-de-facade-en-education/ http://www.asse-solidarite.qc.ca/actualite/lasse-reagit-a-un-reinvestissement-de-facade-en-education/#respond Thu, 15 Dec 2016 19:45:40 +0000 http://www.asse-solidarite.qc.ca/?post_type=actualite&p=3578 L’ASSÉ RÉAGIT À UN RÉINVESTISSEMENT DE FAÇADE EN ÉDUCATION La ministre de l’Enseignement supérieur Hélène David a annoncé au cours de deux sorties récentes des sommes de 80 millions injectées dans l’aide financière aux études, et de 12 millions dans … Lire la suite

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L’ASSÉ RÉAGIT À UN RÉINVESTISSEMENT DE FAÇADE EN ÉDUCATION

La ministre de l’Enseignement supérieur Hélène David a annoncé au cours de deux sorties récentes des sommes de 80 millions injectées dans l’aide financière aux études, et de 12 millions dans les cégeps et les universités. L’ASSÉ dénonce cette solution de façade à un problème de mal-financement en éducation qui dure depuis trop longtemps.

Les mesures actuelles sont présentées comme une concession face aux nombreuses mobilisations des associations étudiantes et sont un petit pas de plus contre la précarité, principalement pour les parents étudiants. Cependant, après plusieurs années de coupures dans les budgets des institutions d’enseignement, de dégel des frais et de coupures dans l’aide financière, elles représentent moins de la moitié des compressions faites en éducation lors dernières années. « Cela fait plusieurs années qu’on se mobilise contre l’austérité et pour un réinvestissement en éducation et dans les services publics. Face aux milliards coupés dans les dernières années par le gouvernement, il est hypocrite d’annoncer des sommes si petites! » s’exclame Rosalie Rose, porte-parole de l’ASSÉ.

Plusieurs problématiques ont été oubliées dans l’élaboration des solutions et se doivent d’être nommées. Les étudiantes internationales et les étudiants internationaux n’ont toujours pas accès à l’aide financière, et font face à des frais de scolarité plus faramineux et à des contraintes en terme d’emploi. Les étudiantes et les étudiants en situation de handicap n’ont toujours pas une aide adaptée à leurs besoins, et plusieurs d’entre elles et eux n’ont pas une situation reconnue ou n’ont pas accès à un diagnostic. Les postes et les services coupés sur les campus n’ont pas été remplacés ou réouverts, notamment dans le soutien aux survivantes d’agressions à caractère sexuel.

L’ASSÉ revendique des mesures globales pour y arriver. Un réinvestissement majeur en éducation est nécessaire pour un régime de prêts et bourses réellement adapté, pour des services d’aide aux études, pour une rémunération des stages obligatoires et pour la gratuité scolaire à tous les niveaux, de la maternelle à l'université.

Cette année, l’ASSÉ continuera de se mobiliser contre la précarité étudiante et pour une éducation réellement accessible. Le 6 avril 2017, les étudiantes et les étudiants seront dans la rue pour exiger des solutions concrètes et rappeler que c’est par la mobilisation que les gains se font.

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L’ASSÉ est solidaire des survivantes http://www.asse-solidarite.qc.ca/actualite/lasse-est-solidaire-des-survivantes/ http://www.asse-solidarite.qc.ca/actualite/lasse-est-solidaire-des-survivantes/#respond Tue, 25 Oct 2016 14:46:55 +0000 http://www.asse-solidarite.qc.ca/?post_type=actualite&p=3548 L'ASSÉ est solidaire des survivantes Les 22 et 23 octobre au Cégep de Saint-Jérôme, l’Association pour une solidarité syndicale étudiante a tenu un camp de formation féministe. Des ateliers et des discussions qui y ont eu lieu, un mot reste … Lire la suite

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L'ASSÉ est solidaire des survivantes

Les 22 et 23 octobre au Cégep de Saint-Jérôme, l’Association pour une solidarité syndicale étudiante a tenu un camp de formation féministe. Des ateliers et des discussions qui y ont eu lieu, un mot reste toujours central : solidarité. Alors que de nombreuses dénonciations d’agressions à caractère sexuel font surface, cette solidarité reste cruciale. En ce sens, l'ASSÉ rappelle que les survivantes ne sont pas seules dans leur situation, et surtout, elles ne sont pas seules dans leur prise de parole.

Les violences sexuelles sont alimentées par une culture du viol présente dans toutes les sphères de notre société. Elle est présente dans la façon qu'ont les administrations universitaires d'excuser les agresseurs en blâmant les victimes de ne pas avoir fait assez attention, de s'être habillées d'une certaine manière, d'avoir gardé leurs portes débarrées, d'avoir cru que leur sécurité était garantie dans leur intimité. Elle s’attaque de façon plus insidieuse aux femmes racisées, autochtones et issues de l’immigration, aux femmes en situation de handicap, aux femmes lesbiennes, et aux femmes vivant d’autres discriminations. « On prétend avoir une éducation post-secondaire accessible aux femmes au Québec. Pourtant, ces violences sont un frein à cette accessibilité, car elles instaurent un climat de peur et d'insécurité chez les femmes », affirme Rosalie Rose, porte-parole de l’ASSÉ.

Depuis que cela fait manchette, l'élite politique s'est succédée dans les promesses aux survivantes de violences sexuelles. La ministre de l'Enseignement supérieur est sortie dans l'actualité pour parler d'actions concrètes face aux agressions sur les campus et d'encadrement légal des initiations. Il nous apparaît relever d'une hypocrisie sans borne du gouvernement de réagir aussi tardivement à la situation alors que les ressources communautaires et internes au système d'éducation subissent des compressions budgétaires depuis plusieurs années.

Un réinvestissement massif dans les organismes communautaires et publics est vital pour offrir les services de prévention et d'intervention par rapport aux violences sexuelles. « Les cégépiennes et les universitaires voient leur accès restreint, voire coupé, à l'aide psychosociale. C'est inacceptable de manquer de respect à ce point aux survivantes, qui ont droit à ce soutien et cette écoute! », s’indigne Rosalie Rose.

Face à ce problème social, la solution doit être collective et féministe. Afin de mettre en action la lutte contre la culture du viol et d'apporter du soutien aux survivantes de tout type de violence sexuelle, plusieurs actions et manifestations s'organisent. L'ASSÉ lance un appel à participer aux manifestations prévues le mercredi 26 octobre à Québec, à Montréal, à Saguenay et à Sherbrooke, et à tous les prochains événements qui iront en ce sens. Pour y faire suite, une semaine de mobilisation féministe se tiendra du 7 au 11 novembre sur plusieurs campus à travers le Québec.

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L’ASSÉ solidaire des personnes menacées d’expulsion à l’UQAM http://www.asse-solidarite.qc.ca/actualite/lasse-solidaire-des-expulse-e-s-de-luqam/ http://www.asse-solidarite.qc.ca/actualite/lasse-solidaire-des-expulse-e-s-de-luqam/#respond Mon, 13 Jun 2016 19:12:08 +0000 http://www.asse-solidarite.qc.ca/?post_type=actualite&p=3504 L'ASSÉ solidaire des personnes menacées d'expulsion à l'UQAM Il y a une semaine, les associations étudiantes de l’Université du Québec à Montréal apprenaient que deux de leurs membres étaient convoqués à un comité disciplinaire. Ces mesures répressives ne sont pas … Lire la suite

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L'ASSÉ solidaire des personnes menacées d'expulsion à l'UQAM

Il y a une semaine, les associations étudiantes de l’Université du Québec à Montréal apprenaient que deux de leurs membres étaient convoqués à un comité disciplinaire. Ces mesures répressives ne sont pas nouvelles. Lors de la grève étudiante contre l’austérité au printemps 2015, neuf étudiantes et étudiants étaient menacé-e-s d’expulsion à l’UQÀM, et d’autres se retrouvaient également judiciarisé-e-s dans quelques établissements scolaires au Québec. L’ASSÉ dénonce ces tactiques coercitives qui imposent des pressions psychologiques, briment le droit à la contestation et précarisent les personnes visées. “C’est inacceptable que des administrations locales aient recours à l’intimidation comme réponse à la mobilisation étudiante!” s’exclame Rosalie Rose, porte-parole de l’ASSÉ. En ce sens, l’ASSÉ affirme sa solidarité avec les personnes convoquées et réaffirme la diversité des moyens de pression pour faire entendre ses revendications.

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Je soutiens le fond des arrêté-e-s http://www.asse-solidarite.qc.ca/actualite/je-soutiens-le-fond-des-arrete-e-s/ http://www.asse-solidarite.qc.ca/actualite/je-soutiens-le-fond-des-arrete-e-s/#respond Mon, 13 Jun 2016 13:58:36 +0000 http://www.asse-solidarite.qc.ca/?post_type=actualite&p=3499 Je soutiens le fond des arrêté-e-s Une campagne de socio-financement est lancée afin de couvrir les frais judiciaires des personnes convoquées au Comité de discipline de l'UQAM. Pour faire un don, vous pouvez : 1. Contribuer par chèque en l'adressant … Lire la suite

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Je soutiens le fond des arrêté-e-s

Une campagne de socio-financement est lancée afin de couvrir les frais judiciaires des personnes convoquées au Comité de discipline de l'UQAM.

Pour faire un don, vous pouvez :
1. Contribuer par chèque en l'adressant à « Association pour une solidarité syndicale étudiante » avec la mention « Fond des arrêté-e-s » par la poste aux coordonnées suivantes :

2065, rue Parthenais, boîte postale 383
Montréal, (Québec)
H2K 3T1

 
2. Donner en argent comptant, en main propre, au local de l'ASSÉ en vous assurant de mentionner à la personne responsable qu'il s'agit d'un don au fond des arrêté-e-s. L'adresse du local de l'ASSÉ est :

2065, rue Parthenais, local 298
Montréal, (Québec)
(Sonnez au numéro 32 pour entrer dans l'immeuble)

 
Merci de votre soutien.

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